Forum Reliures
Bienvenue sur Reliures ! Le forum pour rassembler, unir et connecter les férus d’écriture, de lectures et de textes.
Quelques règles…
La liberté d’expression est de mise… elle ne doit cependant pas dépasser des limites de bon sens et d’éthique.
1Présentons-nous aux autres !
Afin de mieux nous connaître, je vous invite à nous en dire plus sur vous, à vous présenter aux autres membres du forum.
2Le coin lecture 1
Répondez ici à une question ouverte, pour connaître et partager vos goûts de la lecture.
8Le coin lecture 2
Phrases upercut, ou de rêve, qui ouvrent grand l’horizon: partagez ces trésors ! Classique, ou pas, livres, chant ou...
6Le coin écriture 1
Belle plume? Quelques écrits en réserve ? Vous pouvez proposer vos mots et recevoir les ressentis d'autres membres.
7Le coin écriture 2
Thème, contrainte: 1 défi d’écriture est proposé, par vous ou moi. Feuille&stylo, ordi&tablette : A votre imagination !
3Rubrique à part: lire & écrire
Vitale. écriture & lecture le sont parfois. La sincérité: de mise. Sans tabou, en confiance, avez-vous des exemples ?
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- Le coin lecture 1Quitter le monde de Douglas Kennedy Durant une bonne moitié du livre de Douglas Kennedy, une multitude de péripéties, plus ou moins graves, se multiplient. Pourtant, le lecteur n’a pas vraiment l’impression, ni d’avancer, ni d’être touché… C’est sans doute que les relations entre les protagonistes sont alors superficielles. Et qu’à l’aune de l’autre moitié du texte, alors qu’un évènement des plus importants se déroule, nous nous retrouvons propulsés au milieu de personnages qui, tous, tentent de vivre au mieux, de faire avec les duretés qu’ils traversent ou ont traversé. Aucun des protagonistes n’est dupe, tous respectent les blessures de chacun. Et ils en ont vécu des drames, des tragédies desquelles personne ne se relève. Alors que l’espoir semble enfin se profiler pour l’héroïne, Jane Howard, la voilà confronter à une ultime épreuve, épreuve où les tensions sont à leur comble. Douglas Kennedy emmène ses lecteurs aux États-Unis, au Canada et en Allemagne, au gré des événements. Brosse le portrait de nombreux personnages secondaires, tous, sont en lien avec l’héroïne. Cette dernière, avec volonté et caractère, finira peut-être par trouver une forme d’apaisement.
- Rubrique à part: lire & écrireA l’heure du tout ami des réseaux, alors qu’on se connaît parfois si mal, à l’heure des followers et autres nominations barbares, à l’heure aussi des distanciations physiques et concrètes, je pense à toi. A la veille d’une date qui fait date, à la veille de journées à picorer, te souviens – tu : « les glaneurs et la glaneuse » ? Avec toute ta tolérance, ta patience, je sais ta présence, je sais tes préoccupations, j’apprends ton éloignement. Quelle amie suis-je ? Quelle absence longue et répétitive, quel manque d’engagement ?... A l’heure des prouesses de pacotilles, des oublis trop sincères, de beaucoup de maladresse, je suis là malgré tout. Au crépuscule qui saigne, à l’entre chien et loup qui jappe ou qui aboie, nous ne nous oublions pas. Égrener des prénoms, appeler vos raisons, chaque ami traine dans mon cœur. Pas d’oubli salvateur. Il s’agit de toi, femme accomplie, femme rieuse et blessée, homme mûr et sans quartier. Il s’agit de toi, gravée à jamais dans une âme bancale mais fidèle, oh combien. Il s’agit de nous, encore, que vive la solidarité ! Que suis-je ? Et vous, amis, le serez-vous longtemps ? Quelle chance ce partage de nos louanges. Sans crainte de dévoilement, sans peur des rencontres fortuites. De celles qui nous agitent, tripes à l’air et cerveau lent. Fêlée, poreuse, solide pourtant. Tous les jours je vous attends.
- Le coin écriture 2On se promet le meilleur à venir, on se souhaite la santé, les amours et beaucoup plus encore… On promet des projets réalisés, et quelques belles et bonnes rencontres, des rêves accomplis. On se promet de bien s’améliorer, d’être plus audacieux, et plus doux ? Et on se promet surtout d’être là, pour soi, pour ses proches, être spontané. On se permet alors les mots si bleus, bazardée la pudeur, abandonnée, la timidité. On se permet tout le jour l’amour, On espère l’amitié sans cesse créée. La bonne bonté. Enfin, souffler une merveille d’année 🙂